Ce samedi, la Commission de sécurité publique du Sénat s’est réunie pour entamer la discussion, notamment, du projet de loi Nain-Retamal. La ministre de l’Intérieur, Carolina Tohá, a participé à l’instance où elle a souligné qu’en tant que gouvernement, ils cherchaient des solutions au problème de sécurité. Et il a annoncé que dans les prochains jours, ils présenteront un projet de loi sur les règles d’usage de la force.
Une partie de la conversation a porté sur l’utilisation des caméras vidéo que les policiers transportent dans le cadre de leur équipement pour l’enregistrement audiovisuel de ce qui s’est passé pendant leur travail. Ceci, en plus du projet « Loi Nain-Retamal » qui offre une plus grande protection juridique aux carabiniers, à la police d’enquête et aux gendarmes.
En ce sens, le ministre Tohá a fait référence à ce qui s’est passé dans cette affaire lors de l’épidémie sociale : « Au moment de l’épidémie, il y avait précisément une agitation autour des procédures policières et un gigantesque achat de caméras a été effectué afin qu’elles puissent être transportées pris en charge par ce registre, mais malheureusement cet achat a été effectué avec la mauvaise technologie et cela, dans la pratique, a rendu ces caméras inopérantes. Ce n’est pas quelque chose d’aussi simple que cela puisse paraître, cela dépend de l’équipement de la police, de la connectivité… ».
Dans le même ordre d’idées, il a soutenu que « là-dessus, je veux avoir une réponse énergique après en avoir discuté dans les prochains jours, en nous proposant une manière de prendre cette norme et de nous mettre d’une manière progressive qui soit raisonnable, l’idée que la police procédures les font toujours enregistrer et réviser. C’est une norme que nous devons absolument nous mettre à l’horizon ».
Por otro lado y, « después de escuchar tres presentaciones de hoy », la secretaria de Estado señaló que « si uno coteja las presentaciones con lo que son los casos que hemos tenido donde ha habido cuestionamiento del uso de la fuerza por las policías, lo que se descubre es que a pesar de todas las falencias que pueda haber, no tenemos en Chile un problema de que tengamos policías condenados por procedimientos que consideramos que fueron correctos. Donde sí tenemos muchos problemas es en lo que sucede en el proceso, lo que le pasa a ese funcionario desde el momento en que hace uso de su arma, que muchas veces se ve involucrado en una situación procesal y profesional muy compleja que lo deja ya de antemano condenado. El corazón del problema lo tenemos ahí y eso es lo que más inhibe a los carabineros, no es que crean que van a ser condenados, pero de aquí a que demuestren su inocencia van a pasar por una situación que no tiene marcha atrás. Es algo que va a tener consecuencias permanentes en su carrera y en su vie personnelle. Nous devons changer cela, car un policier n’est pas comme une personne qui a eu ou a le droit d’utiliser une arme, mais a plutôt le devoir de l’utiliser en vertu d’une commission que nous lui avons donnée en tant que société. »
Il a ajouté qu’il s’est engagé à avoir cette discussion à une vitesse maximale au sein de l’exécutif et « voyez ce que nous pouvons proposer à cet égard, car quelque chose que je pense vraiment que la session a confirmé, c’est qu’il s’agit d’une question sensible ».