Le sénateur Coloma exhorte l’exécutif à accélérer l’envoi des 12 projets de sécurité promis en avril

Le président de la Chambre haute, Juan Antonio Coloma, a souligné qu’hier, dans les actes de commémoration du 21 mai, il a approché le président Gabriel Boric pour demander la présentation de projets de loi sur la sécurité, dans le but d’avoir un traitement rapide au congrès.


Le Président du Sénat, Juan Antonio Coloma (UDI), a de nouveau exprimé sa préoccupation concernant le retard dans l’entrée des projets de loi liés à la sécurité que le gouvernement a accepté de présenter en avril dernier, après avoir convenu avec les partis au Congrès d’une soi-disant voie législative accélérée pour traiter les projets rapidement.

Dans ce contexte, l’exécutif et les chambres ont convenu d’envoyer jusqu’à 31 projets de loi dans des termes différents, allant de 75 jours à un an. Une douzaine de ces projets ont été annoncés par le gouvernement. C’est pourquoi Coloma a exhorté l’administration présidentielle gabriel borique promouvoir ces normes.

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Selon le slogan, hier, le parlementaire UDI a approché le président pour lui faire part de ses préoccupations concernant le traitement de ces projets. « Pour moi, le principal problème au Chili reste de loin la sécurité », a déclaré le patron du syndicat.

Dans ce sens, le président de la Chambre haute a souligné que « nous fixons un délai pour l’ordre du jour, certains 75 jours et il reste 35 jours, d’autres 150 jours, il y en a moins et d’autres jusqu’à la fin de l’année, donc il est indispensable pour accélérer la foulée ».

« Mais sur les 12 projets que le gouvernement a promis d’envoyer, jusqu’à présent aucun n’a été envoyé », a-t-il ajouté. À cela, il est ajouté que cette semaine est district au Congrès, donc pendant ces jours, il ne serait pas possible de progresser.

Concernant la raison pour laquelle le gouvernement aurait ces retards, le sénateur a soutenu que « j’espère que c’est quelque chose de technique, mais cela se traduit par des votes. Au-delà des problèmes, je pense que le moment est venu de les résoudre et de ne pas les garder indéfiniment car personne n’exclut qu’il y ait des difficultés, mais c’est à ça que sert la démocratie, à les résoudre ».