La démolition d’une maison de la commune de La Florida continue de marquer l’agenda politique : face à cela, le plus haut représentant du Ministère Public, Ange Valencea rencontré l’Association nationale des procureurs pour définir un canal qui réglemente la transmission des informations des persécuteurs aux municipalités, dans un contexte où les forces politiques du parti au pouvoir et des partis d’opposition et le gouvernement ont convenu d’unir leurs efforts pour relever les défis sécuritaires et criminels auxquels le pays est confronté.
L’objectif de la réunion qui s’est tenue à Valparaíso était de discuter de la position du ministère public concernant le processus constituant en cours. Cependant, après les échanges de communication entre le procureur national et le maire de La Florida, Rudolf Carter (ex-UDI), le problème du référé annoncé au sein du ministère public a été abordé.
Celui-ci cherchera à indiquer s’il y a eu des irrégularités dans la transmission des informations du parquet à la municipalité de la commune du secteur sud-est de Santiago. La propriété, située dans le secteur Los Quillayes, a été classée en extension irrégulière.
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Dans ce contexte, les membres de l’association ont évoqué l’exposition que le référé implique pour le procureur mis en cause, Ernest Navarroqui a fourni à la municipalité les informations qui ont conduit à la quatrième démolition de la maison indiquée comme appartenant à des trafiquants de drogue.
Pour sa part, Valence a indiqué que le résumé a pour but de clarifier la procédure avec laquelle l’information a été transmise à la municipalité, car cela correspond à une enquête toujours en cours. Dans le même ordre d’idées, le persécuteur a souligné que « ni le parquet de l’Est ni le parquet national n’ont dénoncé le procureur, mais plutôt son nom est sorti le matin, aux informations, et même un e-mail a été montré ».
Selon le président de l’Association des procureurs nationaux, François Bravodans La troisièmeil y a des informations réservées sur les causes qui doivent rester secrètes pour protéger ceux qui dénoncent : « il y a un souci de protéger les personnes qui dénoncent les crimes et aussi notre inquiétude, et nous l’avons exprimée au procureur national, pour la sécurité des procureurs. »