Au cours de la journée de mardi dernier, le sous-secrétaire à l’Intérieur, Manuel Monsalve, a confirmé la présence dans le pays de trois des organisations criminelles les plus dangereuses au monde. Il s’agit du train Aragua, du cartel de Sinaloa et de la nouvelle génération de Jalisco.
Compte tenu de cela, et dans une nouvelle version de Le Comptoir de La Clavele procureur régional d’O’Higgins et spécialisé dans les enquêtes sur le trafic de drogue, le crime organisé et la lutte contre la corruption, Emiliano Arias, a fait référence à la situation, déclarant qu' »une politique est nécessaire pour s’attaquer à l’argent du crime organisé ».
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Le train d’Aragua « est un cartel d’origine vénézuélienne, une organisation typique du crime organisé qui est une organisation qui recherche le profit en commettant un nombre répété de crimes tels que le trafic de drogue, la traite des êtres humains, l’extorsion ».
« La meilleure politique qui existe face à la vérification de faits comme celui-ci est de reconnaître leur existence. Lors de la reconnaissance de leur existence, prenez les mesures appropriées », a-t-il déclaré.
« L’idéal pour enquêter sur ce type de crime est de fournir à la police et au parquet les outils juridiques appropriés pour lutter contre cela. Des outils juridiques qui leur permettent de rechercher l’argent. Une législation adéquate est nécessaire pour rechercher l’argent et retirer de ces organisations leur financement », a-t-il ajouté.
Dans le même ordre d’idées, Arias soutient que le moteur principal des organisations est l’argent, et que pour les contrôler et les réduire, il faut « s’attaquer à ce phénomène ».
« Quand vous voyez des tueurs à gages, des kidnappings, ce qu’ils recherchent, c’est de l’argent ; ce n’est pas un groupe de sujets particulièrement cruels ou pervers qui cherchent à commettre ce type de crime parce qu’ils aiment ça, mais c’est plutôt une conséquence de la prise en charge territoire, que l’organisation soit agrandie. , que la concurrence soit éliminée, pour gagner de l’argent », a-t-il dit.
« Il faut s’attaquer à ces phénomènes pour contrôler ces organisations », a-t-il ajouté.
« Il y a un manque de législation adéquate. Il y a des projets qui sont au Congrès, comme la loi sur l’extension de domaine, qui est au Congrès depuis 3 ou 4 ans, qui serait une loi très utile pour pouvoir saisir, saisir et allouer des biens saisis à des organisations criminelles pour enquête. ou à l’indemnisation des victimes », a-t-il conclu.