Le gouvernement, par l’intermédiaire du sous-secrétaire à l’Intérieur, Manuel Monsalve, a rendu un bilan sur les résultats de la loi sur les infrastructures critiques depuis sa promulgation au début du mois de février de cette année. Au milieu de sa visite dans la région de Tarapacá, Monsalve a signalé que la migration irrégulière à la frontière a été réduite de plus de moitié par rapport à la même date mais l’année dernière.
Plus précisément, le sous-secrétaire d’État a souligné qu’« au 19 mars 2022, le nombre de personnes détectées entrant illégalement au Chili à la frontière nord était en moyenne de 967 par semaine. C’était la réalité l’année dernière. C’est une moyenne de 440 personnes au 19 mars, soit 55% de revenus irréguliers en moins à la frontière nord du pays.
Dans le même ordre d’idées, l’autorité gouvernementale a souligné qu’il y a eu une augmentation soutenue de la réorientation des personnes cherchant à entrer au Chili. Il y a un an, seuls 10% d’entre eux étaient renvoyés dans leur pays d’origine. Pendant ce temps, aujourd’hui, le nombre de réacheminements atteint 59%. A cela s’ajoute que la migration vénézuélienne est passée de 80% à 36%.
Les déclarations de Monsalve ont été faites en mars lors de la session de constitution du Comité interministériel pour l’investissement dans le nord du pays, qui s’est déroulée dans les locaux de la Faculté d’architecture de l’Université Arturo Prat, dans la ville d’Iquique. .