La chambre de la Chambre des députés et des députés votera ce mercredi sur le projet appelé loi Naín-Retamal (issu de deux initiatives différentes, que la Commission de sécurité citoyenne de la Corporation a fusionné).
La loi Naín vise à augmenter les sanctions contre les personnes qui portent atteinte à l’intégrité physique de la police. Par exemple, il établit que les personnes reconnues coupables de ces actes ne peuvent accéder à des peines de substitution.
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L’initiative a été nommée en l’honneur du sous-caporal Eugenio Naín, qui a été abattu en octobre 2020, au milieu d’une procédure policière menée dans la région d’Araucanie.
Les députés de l’opposition de la Commission de sécurité citoyenne de la Chambre basse ont ajouté la loi Retamal, par des indications, à la loi Naín. Cette initiative vise à assurer la protection des policiers et gendarmes, renforçant ainsi la réponse de l’État aux attaques qu’ils subissent.
De plus, cela leur permet d’utiliser leur arme létale pour repousser certaines actions, dans les cas où leur intégrité physique, leur vie ou celle d’autrui est en danger. Ainsi, elle institue pour eux, la légitime défense privilégiée face à des hypothèses objectives.
Concrètement, avec le projet, il est présumé que la police a agi correctement et il appartiendrait au parquet ou à un tiers de présenter des preuves pour prouver qu’il a fait un usage abusif de son arme.
L’initiative a été nommée à la mémoire du sous-sergent Carlos Rétamaldécédé en octobre 2022, après qu’un sujet l’ait attaqué avec un fer à repasser à San Antonio, région de Valparaíso, au milieu d’une procédure pour une course clandestine.
Rappelons-nous qu’après le meurtre des carabiniers Rita Olivares -un sujet lui a tiré dessus au milieu d’une procédure pour vol qualifié à Quilpué, région de Valparaíso-, l’exécutif et le Congrès ont convenu d’approuver 15 projets de sécurité dans un délai de trois mois.