La Chambre basse approuve une commission chargée d’enquêter sur d’éventuelles responsabilités publiques dans l’augmentation du vol de bois à Bío Bío et La Araucanía

La Chambre des députés et des députés a approuvé au cours de cette journée la création d’une commission d’enquête, dont la fonction sera de clarifier les éventuelles responsabilités des organismes publics dans le vol de bois dans les régions de Bío Bío et La Araucanía.

Compte tenu de l’augmentation de ce crime -qui a atteint 25 000 camions avec du bois volé, d’une valeur de 100 millions de dollars-, il est prévu d’enquêter sur des institutions telles que l’Internal Revenue Service (SII), les douanes et les carabiniers, ainsi que Il invitera le des représentants des divisions concernées à témoigner, ainsi que des sociétés forestières.

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A noter que la proposition approuvée à l’unanimité dans la salle a été présentée par le député et chef du caucus de la Démocratie chrétienne (DC), Eric Aedoceci après avoir eu le soutien de 63 législateurs, selon Radio Bio Bio.

Aedo lui-même a commenté -au même point de vente- que l’idée de cette commission est « d’établir quelles sont les actions que les différents services publics ont eues dans cette affaire, en plus d’être un soutien à l’enquête que le procureur régional a effectué, Marcela Carthagène« .

Pour sa part, la députée de l’Union démocratique indépendante (UDI) et de la province d’Arauco, fleur blanchea précisé que la commission aidera à retrouver les responsables de ce type de crime.

travail de commission

Le député Aedo a déclaré qu’une fois la commission constituée, elle commencera par la conception de l’œuvre et qui doit appeler pour témoigner. Le parlementaire insiste sur le fait qu’ils doivent être présents pour témoigner ou participer à l’enquête : SII, Douanes, Police, PDI, maires de la zone, organisations mapuche, entrepreneurs de taille moyenne et forestiers.

À son tour, le chrétien-démocrate entend que cette instance de travail souligne que ce type de crime n’a aucune corrélation avec le conflit mapuche et les revendications territoriales, mais est basé sur une activité illégale avec la participation d’organisations criminelles.