Atelier de débat sur le cinéma chilien à Quilpué

Atelier de débat sur le cinéma chilien à Quilpué

  • Théâtre Juan Bustos Ramírez, Aníbal Pinto 650, Quilpué.
  • Tous les mercredis, du 10 au 31 août – 18h00
  • Inscription jusqu’au lundi 8 août ici.
  • Entrée libre.

Dans le cadre du programme de formation du public « École des spectateurs chiliens du cinéma », le Centre Culturel Audiovisuel Quilpuevous invite à participer à l’atelier de débat sur le cinéma chilien.

L’atelier se déroulera en face à face et consistera en quatre séances, une fois par semaine. Il y aura une certification pour ceux qui assistent à toutes les sessions.

Le projet est financé par le Fonds de Développement de l’Audiovisuel, Appel 2021 du Ministère des Cultures, des Arts et du Patrimoine et est parrainé par l’Illustre Commune de Quilpué.

De même, l’activité envisage des expositions de films cinématographiques chiliens, qui seront diffusés après chaque session. Toutes les fonctions auront lieu à 19h00, suivies de chaque session de l’atelier.

Programmation

Le mercredi 10 août, la première de « Las mujeres de mi casa » de la réalisatrice Valentina Reyes, et mettant en vedette la remarquable actrice Grimanesa Jiménez, sera projetée ; Le mercredi 17, la première nationale de « Mon pays imaginaire » sera également présentée, un film du réalisateur acclamé Patricio Guzmán qui raconte les histoires de l’épidémie sociale de 2019. Le mercredi 24, « Night Vision » de la réalisatrice Carolina Moscoso . Et enfin, le mercredi 31 août, « Araña », du réalisateur Andrés Wood, nommé aux Goya Awards 2020.

Concernant la structure de l’atelier, Christian Ramírez, intervenant de l’activité, explique qu’il ne s’agit pas de débats dans lesquels les parties prennent une position pour et une autre contre, mais cherche plutôt à proposer différentes perspectives qui abordent le film visionné et anticipent le thématiques du prochain film qui fait partie de la programmation : « Pour pouvoir construire ensemble de nouvelles perspectives du cinéma chilien, pour pouvoir comprendre où il va et d’où il vient, il faut en effet faire appel au dialogue . Sans se faire face, plutôt, se compléter ».